Julie Bordier Psychothérapie Gestalt & Coach

REDONNER LA LIBERTE AU « DIRE NON »

S’autoriser à dire NON.

Dans notre éducation, pour la plupart, je ne veux pas généraliser, nous avions l’obligation d’obéir, OBEIR, verbe transitif indirect

  1. 1.

Se soumettre à (qqn) en se conformant à ce qu’il (elle) ordonne ou défend.

Elle n’obéit qu’à sa mère.

  1. 2.

Se conformer, se plier à (ce qui est exigé par autrui ou par soi-même).

Obéir à un ordre.

Si nous avions le courage de dire NON, il fallait une bonne justification, et celle-ci devait ensuite être entendu, et peut être dans le meilleur des cas, accepter.

Nous sommes d’accord, c’est très dure ce passage du NON, on l’a certainement crier haut et fort petit, vers 2 ans ou 3 ans, car cela fait partie de développement, et cela est tout à fait normal et sain d’être dans cette étape, et puis vient l’adolescence, ou là le besoin de dire NON revient, ce sont des étapes nécessaires pour la construction de l’individuation, comment peut on se démarquer des autres, et se construire soi-même, si on obéit à toutes les demandes que l’on nous fait, comment apprend on à se satisfaire soi, ses propres besoins, il y a-t-il une place pour juste obéir à nos propres besoins.

Alors je vous le dis HAUT ET FORT, vous avez le droit adulte de dire NON, vous êtes invités quelque part, et vous n’avez pas envie d’y aller, même si c’est une demande faite par les parents, si vous n’avez pas envie, vous avez le droit de dire NON.

Comment voulez vous qu’en tant qu’enfant, on puisse se protéger soi-même, juste par le fait de dire NON. Alors je le redis, vous avez le droit de dire NON, et sans justification, vous n’avez pas l’obligation de vous justifier à chaque fois.

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